Violence obstétricale
Traduction générée par IA. Accéder à la version originale
Responsabilité patrimoniale en cas de décès du fœtus à la naissance
Une femme s'est rendue dans un hôpital des Canaries enceinte d'un enfant très attendu, mais les soins médicaux qu'elle a reçus étaient déficients dès le départ. La grossesse était déjà compliquée car la mère présentait des facteurs de risque tels que l'âge avancé, l'obésité et le diabète. Cependant, à son arrivée à l'hôpital, elle n'a pas été correctement évaluée ni prise en charge par un spécialiste, et aucun suivi ni surveillance n'ont été effectués conformément aux protocoles médicaux pour ces cas délicats. Le tribunal a confirmé que tout au long du processus, plusieurs droits fondamentaux de la patiente ont été violés. Tout d'abord, elle n'a pas été correctement informée ni n'a reçu d'options sur la manière d'aborder l'accouchement dans une situation aussi délicate, ni avant ni après le décès du fœtus. Lorsque la triste nouvelle de la mort in utero du bébé est survenue, on ne lui a même pas proposé des alternatives telles qu'une césarienne ou demandé son consentement pour un accouchement prolongé, ce qui a accru sa souffrance physique et émotionnelle. L'affaire s'est retrouvée devant les tribunaux, qui considèrent que tout cela constitue un exemple clair de "violence obstétricale", un concept qui reconnaît que refuser des informations pertinentes et des alternatives thérapeutiques aux femmes en travail constitue une violation de leurs droits humains. C'est pourquoi le Service Canarien de la Santé a été condamné à verser 200 000 euros pour les dommages causés, ainsi que les intérêts et les frais de justice. La Cour supérieure de justice souhaite souligner que les femmes ont le droit à des soins de santé appropriés et garantis dans des moments aussi importants et vulnérables que l'accouchement. Si vous estimez avoir subi un préjudice découlant d'une action de l'administration sanitaire, nos professionnels peuvent vous conseiller dans la défense de vos droits comme l'âge avancé, l'obésité et le diabète. Cependant, à son arrivée à l'hôpital, elle n'a pas été correctement évaluée ni été prise en charge par un spécialiste, ni suivi ni surveillée conformément aux protocoles médicaux requis pour ces cas délicats.
Le tribunal a confirmé que tout au long du processus plusieurs droits ont été violés fondamentaux de la patiente. En premier lieu, on ne lui a pas informé ni des options sur la manière de gérer l'accouchement dans une situation si délicate ne lui ont été offertes, ni avant ni après le décès du fœtus. Lorsque la triste nouvelle de la mort in utero du bébé s'est produite, même alors, on ne lui a pas proposé alternatives comme la césarienne ou lui ont demandé son consentement pour un accouchement prolongé, ce qui a accru sa souffrance physique et émotionnel.
L'affaire s'est terminée devant les tribunaux, qui considèrent que tout cela constitue un exemple clair de "violence obstétrique", un concept qui reconnaît que refuser des informations pertinentes et des alternatives thérapeutiques aux femmes lors de l'accouchement constitue une violation de leurs droits humains. C'est pourquoi, le Service canarien de la santé a été condamné à payer 200 000 euros pour les dommages causés, ainsi que les intérêts et les frais de justice. La Cour supérieure de justice veut souligner que les femmes ont droit à des soins de santé appropriés et avec toutes les garanties dans des moments aussi importants et vulnérables que l'accouchement. violence obstétrique ". Par conséquent, le Service canarien de la santé a été condamné à payer 200 000 euros pour les dommages causés, ainsi que les intérêts et les frais de justice. La Cour supérieure de justice veut souligner que les femmes ont droit à des soins de santé appropriés et avec toutes les garanties dans des moments aussi importants et vulnérables que l'accouchement. droit à des soins de santé adéquats et avec toutes les garanties dans des moments aussi importants et vulnérables que l'accouchement.
Si vous estimez avoir subi un préjudice résultant d'une action de l'administration sanitaire, nos professionnels peuvent vous conseiller dans la défense de vos droits
Ce site web utilise à la fois des cookies propres et des cookies tiers pour analyser nos services et la navigation sur notre site web dans le but d’améliorer notre contenu (à des fins analytiques : mesure de visites et les sources de trafic web). La base légale est le consentement de l’utilisateur, sauf dans le cas des cookies de base, qui sont essentiels pour naviguer sur ce site web.